En me balladant sur l'intersec je suis tombé un peu par hasard sur le mouvement runstreak. Si Juneathon met à mal mon agenda, le runstreak lui pousse à poursuivre cette cadence sans jamais discontinuer! Et à regarder une petite recherche sur twitter, certains en sont à plus de 4 ans. Ca c'est de l'engagement, je dis bravo. Pas pour moi, mais bravo.
En ce qui me concerne j'ai pu vérifier aujourd'hui comme les sensations peuvent tourner d'un jour à l'autre. Si hier j'avais la banane en sentant les grillades, aujourd'hui avant même de partir je voulais qu'une chose: que ce soit fini! Mal de bide quand tu nous tiens. C'est vraiment pas drôle ce truc. C'est une espèce de douleur profonde, constante qui ne m'empêche pas de bosser ou de faire du sport mais alors qu'est-ce qu'elle me pourrit la vie! Les efforts ne sont pas impossibles mais ils sont dénués de tout plaisir. Ce midi, la lumière était splendide, le lac d'un bleu parfois turquoise. Ca aurait du me faire rêver, mais non. Je me dépêchais de faire ma sortie pour pouvoir retourner à ma place de travail, où mon ventre, s'il me fatigue me fait au moins un peu moins mal qu'en courant...
Si les sensations ont tourné d'un jour à l'autre, il ne tient qu'à moi de penser que demain tout peut très bien redevenir excitant!